Le pêcher d'une Disney Addict
On reproche souvent aux femmes d'être dans un déni total des réalités par rapport aux hommes, mais est ce leur faute? Biberonnées aux Disney de l'innocente au nom évocateur Blanche Neige (qui vivait dans une partouze avec 7 petits hommes sans scrupules) à la rêveuse mais étourdie Belle au Bois Dormant, elles tendent toute une vie durant à chercher et être déçue (et à a décevoir) leurs "princes charmants". Ce concept longtemps critiqué, malmené et piétiné n'est pas la création de Disney mais un héritage d'une croyance populaire qui voulait aider des personnes vivantes à s'évader de mariages décevants de raison vers un rêve sucré et vertueux.
Les évolutions sociétales dans la majorité des pays a poussé pourtant l'une des plus fortes multinationales à faire évoluer leurs sources d'inspiration: des premiers héros issus du monde orientales avec Jasmine et Aladin à des personnages féminins de plus en plus affirmés et guerriers avec Pocahantas et Mulan, jusqu'à une héroine récente décrite de manière plutôt cruche parce qu'elle choisit en 1 minute (en étant généreux) l'élu de son coeur.
Tout en étant consciente de ce conditionnement que je "subissais", je ne pouvais m'empêcher pourtant de voir, revoir et revoir encore et encore tous ces films cultissimes qui ont jalonné mon enfance. Comme un plaisir coupable d'un cupcake sucré au delà du possible mais tellement bon ^^.
Heureusement qu'ils ont amorcé ce changement alors, maintenant je peux regarder tranquillement sans devoir être en profond désaccord...
Mais le plaisir est il le même?
Non bien sur mais c'était certainement plus drôle d'introduire du second degré dans ce monde aseptisé et asexué.
Etre un enfant (même si ce n'est plus qu'une âme d'enfant) cela ne sous entend pas de simplifier l'histoire la plus basique. Complexifier ces contes ne les rendraient que plus instructifs et enrichissants à des enfants qui lisent de moins en moins et qui manipulent les nouvelles technologies dès le plus jeune âge ne laissant plus la place au développement de l'imaginaire et du rêve.
Ces rêves qui nous permettent de créer, d'innover et de construire des futurs ...
Et si Disney était le dernier des fabricants de rêves dans un monde où même Hollywood est à cours d'imagination?
Les évolutions sociétales dans la majorité des pays a poussé pourtant l'une des plus fortes multinationales à faire évoluer leurs sources d'inspiration: des premiers héros issus du monde orientales avec Jasmine et Aladin à des personnages féminins de plus en plus affirmés et guerriers avec Pocahantas et Mulan, jusqu'à une héroine récente décrite de manière plutôt cruche parce qu'elle choisit en 1 minute (en étant généreux) l'élu de son coeur.
Tout en étant consciente de ce conditionnement que je "subissais", je ne pouvais m'empêcher pourtant de voir, revoir et revoir encore et encore tous ces films cultissimes qui ont jalonné mon enfance. Comme un plaisir coupable d'un cupcake sucré au delà du possible mais tellement bon ^^.
Heureusement qu'ils ont amorcé ce changement alors, maintenant je peux regarder tranquillement sans devoir être en profond désaccord...
Mais le plaisir est il le même?
Non bien sur mais c'était certainement plus drôle d'introduire du second degré dans ce monde aseptisé et asexué.
Etre un enfant (même si ce n'est plus qu'une âme d'enfant) cela ne sous entend pas de simplifier l'histoire la plus basique. Complexifier ces contes ne les rendraient que plus instructifs et enrichissants à des enfants qui lisent de moins en moins et qui manipulent les nouvelles technologies dès le plus jeune âge ne laissant plus la place au développement de l'imaginaire et du rêve.
Ces rêves qui nous permettent de créer, d'innover et de construire des futurs ...
Et si Disney était le dernier des fabricants de rêves dans un monde où même Hollywood est à cours d'imagination?
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